Une immense joie de recevoir l’artiste Mélodie Lauret pour cette #Playlist de l’#invitée ! Après son premier EP » 23H28 « , qui sort ce vendredi, l’auteure, compositrice, chanteuse, comédienne et metteur en scène Mélodie Lauret a sorti un troisième clip « Quand j’entends les gens » , et elle joue au Théâtre des Dechargeurs les 18 et 19 décembre ! Un grand merci et une très bonne écoute à tous ! #TBTC #MUSIC RCA Sony Music

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// Découvrez ou redécouvrez le clip vidéo  » quand j’entends les gens  » ! //

// Ainsi que le clip vidéo  » minuit quelque part  » ! //

– En chanson comme en vidéo M élodie Lauret raconte à seulement 19 ans de manière intime et dense l’amour charnel, mais sans voyeurisme , et l’universalité du sentiment amoureux. Dans ce nouveau clip réalisé par Guillaume Genetet « Il est toujours Minuit quelque part » . Une nuit avec Mélodie et ses amis, coincés entre deux jours, dans la majesté de la ville.
Comme CHATON le dit très bien : « Rares sont ces artistes capables en quelques mots de déloger votre cœur pour vous le rendre changé quelques chansons plus tard. Chargé aussi. Incapable de savoir si c’est ce timbre tellement particulier ou l’histoire qu’il vient de vous raconter qui vous a bouleversé.
Ecouter Mélodie Lauret, c’est comme si une galaxie qui vous était jusqu’alors étrangère prenait votre être tout entier dans ses bras. Vous rendant aussi unique et singulier que l’est cette artiste précocement géniale. Ils sont d’ailleurs si rares, ces artistes, ceux qui semblent depuis quelques mois ouvrir la brèche d’un nouveau paradigme musical et créatif qu’on en oublierait presque que c’est sans doute ça au fond, un artiste. Un artiste entier. Complet. Une personne qui se livre à un point qu’il vous laisse à la fois rassuré et déchiré par une même chanson.
Car Mélodie, du bout de la voix jusqu’à celui des ongles, semble en pleine conscience. De son temps, de celui qui passe, de celui dont elle ne veut jamais gâcher la moindre seconde. A la ville comme à la scène, l’amour semble absolu, passionné, ultime. La vision est tranchante. Les mots sont choisis comme peu d’auteurs savent les choisir. Et l’interprétation d’une pureté inouïe. Qu’elle n’ait que 19 ans est un détail. Une promesse sublime certes, mais un détail. Car cet amour-là, cette fougue insensée qui détruit pour mieux reconstruire, qui use, brûle, cette fougue n’a aucun âge. Aucun genre. Aucune règle. Si ce n’est celle de ne pas mentir, jamais… –