Playstation est le partenaire officiel de l’INSEP #TokyoIsNow #GameIsNeverOver :


: #TokyoIsNow par TBTC_

L’entrainement reprend pour tous les athlètes de L’INSEP. Oublions les victoires passées, car c’est aujourd’hui que se préparent les grandes compétitions de demain.

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Les premières conceptions de la PlayStation remontent à 1985. Nintendo avait travaillé sur le support des disquettes avec la Famicom, mais des problèmes sont survenus. Sa nature magnétique réinscriptible pouvait facilement être effacée (provoquant ainsi une baisse conséquente de la durabilité), et les disques étaient exposés au danger de la contrefaçon. Par conséquent, quand les détails du CDROM/XA (une extension du format CD-ROM qui combine des formats audio compressés et des données visuelles, leur permettant d’y accéder simultanément) sont apparus, Nintendo fut intéressé. Le CDROM/XA fut développé simultanément par Sony et Philips. Nintendo a demandé à Sony de développer un module additionnel pour CD-ROM, sous le nom de SNES-CD. Un accord fut signé, et le travail commença. Le choix de Sony par Nintendo était dû à une personne : Ken Kutaragi, la personne qui allait bientôt être appelée Le Père de la PlayStation, qui a vendu à Nintendo le processeur Sony SPC-700 qui permettait une synthèse du son ADPCM 8 canaux dans la Super Famicom/Super Nintendo, et cette dernière démontra grâce à ce processeur des capacités audio impressionnantes pour l’époque.

Sony planifia aussi le développement d’une console sous son propre nom mais compatible avec Nintendo, consistant en un système de loisir permettant de jouer à la Super Nintendo à la fois avec les cartouches et aussi avec un nouveau format CD que Sony voulait créer. Ce serait le format utilisé dans les disques SNES-CD, permettant à Sony d’intégrer le marché du jeu vidéo, au détriment de la domination de Nintendo. En 1989, le SNES-CD était sur le point d’être annoncé aux CES du mois de juin. Cependant, quand le président de Nintendo Hiroshi Yamauchi a lu le contrat original de 1988 entre Sony et Nintendo, il a réalisé que l’accord passé accordait à Sony la possession de tous jeux sur le format SNES-CD. Yamauchi était furieux ; considérant le contrat totalement inacceptable, il a secrètement annulé tous les plans de l’association entre Sony et Nintendo pour le SNES-CD. En effet, au lieu d’annoncer leur association le jour du CES, le directeur de la filiale américaine de Nintendo Howard Lincoln est monté sur la scène et révéla qu’ils étaient maintenant en partenariat avec Philips, et qu’il était prévu que tout le travail commun entre Nintendo et Sony allait être abandonné. Lincoln et Minoru Arakawa se sont rendus au siège de Philips en Europe, sans en informer Sony, et ont formé une alliance d’une nature totalement différente : une alliance qui donnerait le pouvoir total à Nintendo sur ses licences sur les machines de Philips.