À l’approche des Journées de la Schizophrénie qui se tiendront du 14 au 21 mars 2020 : une semaine de prévention et de déstigmatisation de ce trouble psychique qui touche près de 700 000 personnes en France.  

Pour renforcer son dispositif d’information grand public, l’Association des Journées de la Schizophrénie déploie une nouvelle campagne de communication basée sur le levier original de l’annonce du lancement d’une nouvelle série : 

« SCHIZO » La 1ère série scientifique fondée sur des faits réels et cautionnée par un comité d’experts sur la schizophrénie. 

Schizo Journées de la Schizophrénie Campagne TBTC

Un principe créatif attractif dont l’objectif est d’inciter les 15-35 ans, grands consommateurs de séries, à s’intéresser à ce sujet sensible et à mieux comprendre la réalité de la maladie. Pour, au final, contribuer à briser le tabou.Incitatif et participatif, ce concept a pour ambition de devenir une véritable production audiovisuelle. 

Le pitch : Alice est une lycéenne insouciante et épanouie. Pourtant, quelques semaines après sa rentrée, l’enthousiasme retombe. Des signes intriguent lajeune femme: des sonneries intempestives, le comportement suspect de ses camarades, le sentiment d’être constamment sous surveillance… Elle s’interroge : est-elle la seule à remarquer ces faits étranges ? Mais, dans son enquête, sera-elle prête à admettre que le problème vient peut-être d’elle ? 

« S C H I Z O » la première série scientifique inspirée de faits réels et cautionnée par un comité d’experts sur la schizophrénie.

Cette campagne originale, imaginée par l’agence CYCA Creative Hub et réalisée par L’imagerie Films, sera dévoilée au public selon la mécanique suivante : 

– Un teaser diffusé dans les salles de cinéma, à la télévision et sur les réseaux sociaux.

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– Un pilote, épisode zéro marqué par un « twist final », sera accessible en ligne sur schizo-thefiction.com dès le 11 mars. (Possibilité de recevoir sous embargo).

– Ce site permettra de décrypter les premiers symptômes d’une décompensation psychotique. « La schizophrénie fait peur. On l’associe encore trop souvent à la folie, à la violence et à la peur. Lorsqu’elle fait la une des médias, c’est dans larubrique des faits divers. Le cinéma n’est souvent pas en reste en termes de clichés. En utilisant les codes attractifs de la série, nous captons l’intérêt dela génération Netflix avide de ‘drama à sensations’. Avec le comité d’experts, nous avons mis un soin tout particulier à rester très proches de laRéalité, tout en maintenant l’intensité émotionnelle », souligne Maël Sevestre,le réalisateur. 

La fiction pour destigmatiser la schizophrénie.  

De Psychose de A. Hitchcock à Black Swan de D. Aronofsky en passant par Fight Club de D. Fincher et Shutter Island de M. Scorsese : pendant longtemps le cinéma et la fiction ont largement contribué à véhiculer une image erronée de la schizophrénie. C’est tout récemment que des créations ont contribué à porter un autre regard sur les troubles psychiques chez les jeunes à l’image des séries Atypical, Skam ou encore Mental.> Pour évoquer ce sujet, des psychiatres spécialisés de la représentation de la schizophrénie et des troubles psychiques dans la fiction, le cinéma sont également disponibles.